Une semaine dans les ruelles du camp de réfugiés de Burj el-Barajneh, dans la banlieue sud de Beyrouth. Une ville dans la ville où s’entassent près de 30.000 personnes, avec leurs rêves et leurs espoirs. Rencontre avec ces exilés qui, dans un proverbe à l’humour désespéré, résument leur sort : "Notre passé est une tragédie, notre présent est un calvaire, heureusement nous n’avons pas d’avenir."